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Question écrite n° 7-1330

de Alexander Miesen (MR) du 24 aôut 2021

au vice-premier ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique

Leihmutterschaft - rechtlicher Rahmen - Regelung

mère porteuse
statistique officielle

Chronologie

24/8/2021Envoi question (Fin du délai de réponse: 23/9/2021)

Question n° 7-1330 du 24 aôut 2021 :

Diese Frage betrifft das Gesundheitswesen, welches sowohl auf föderaler als auch auf Ebene der Gemeinschaften verankert ist.

Die Leihmutterschaft wird in Belgien gesetzlich nicht geregelt, aber aktiv praktiziert. Es gibt kein konkretes Gesetz, das die Nutzung der Leihmütterdienste verbietet oder erlaubt. Bereits in der Vergangenheit hat sich der Senat in einem Informationsbericht mit diesem Thema beschäftigt (Nr. 6-98/1 bis 3). Allerdings sind dem keine konkreten Schritte mehr gefolgt, sodass der rechtliche Rahmen nicht abschließend geklärt ist.

Dabei besteht dringender Handlungsbedarf, denn obwohl es keinen rechtlichen Rahmen gibt, wird Leihmutterschaft praktiziert, wenngleich im Ausland und unter dubiosen Bedingungen. Es ist daher an der Zeit, diese Praxis aus der Ecke zu holen und sich mit ihr zu beschäftigen, denn es gibt stets mehr Familien, deren Wunsch nach einem Kind nicht auf natürliche Weise in ihrer Beziehung erfüllt werden kann.

In diesem Zusammenhang erlaube ich mir, Ihnen folgende Fragen zu stellen:

1) Teilen Sie meine Auffassung, das Thema Leihmutterschaft stärker zu behandeln?

2) Hat es in der Zwischenzeit Schritte zur Untersuchung der möglichen Rechtsänderungen, wie im oben genannten Informationsbericht, gegeben?

3) Wie kann Menschen mit Kinderwunsch ein sicherer Zugang zum System der Leihmutterschaft geboten werden?

4) Besitzen Sie Zahlenmaterial, das die verschiedenen Möglichkeiten zur Erfüllung des Kinderwunsches (Adoptionen, künstliche Befruchtung, Leihmutterschaft, etc.) in den letzten fünf Jahren dokumentiert?

___________________

La présente question porte sur les soins de santé, qui relèvent de la compétence de l'autorité fédérale et des Communautés.

La gestation pour autrui n'est pas réglementée en Belgique, mais est pratiquée activement. Il n'existe aucune loi qui interdise ou autorise le recours aux services d'une mère porteuse. Par le passé, le Sénat s'est déjà penché sur cette thématique dans le cadre d'un rapport d'information (n° 6-98/1 à 3). Celui-ci n'a cependant été suivi d'aucune initiative concrète, si bien que le cadre légal n'a pas été clarifié de manière concluante.

Il est urgent d'agir dans ce domaine car, nonobstant l'absence d'un cadre légal, la gestation pour autrui est pratiquée, même si c'est à l'étranger et dans des conditions douteuses. Il est temps de sortir cette pratique de l'ombre et de s'occuper de cette question car il existe de plus en plus de familles dont le désir d'enfant ne peut être comblé naturellement.

Dans ce contexte, je me permets de vous poser les questions suivantes :

1) Partagez-vous mon point de vue quant à la nécessité d'examiner plus avant la question de la gestation pour autrui ?

2) Des démarches ont-elles été entreprises pour examiner les modifications législatives envisageables, telles que celles évoquées dans le rapport d'information susmentionné ?

3) Comment peut-on offrir aux personnes qui ont un désir d'enfant un accès sûr à la gestation pour autrui ?

4) Disposez-vous de données chiffrées, pour les cinq dernières années, sur les différentes possibilités de combler un désir d'enfant (adoption, insémination artificielle, gestation pour autrui, etc.) ?