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Question écrite n° 3-7758

de Mia De Schamphelaere (CD&V) du 28 mars 2007

au ministre des Affaires sociales et de la Santé publique

Diabète - Insuline - Association d'analogues de l'insuline à action prolongée.

Chronologie

28/3/2007Envoi question (Fin du délai de réponse: 27/4/2007)

Question n° 3-7758 du 28 mars 2007 : (Question posée en néerlandais)

Le diabète de type 2, dont la prévalence est croissante, exerce une pression de plus en plus lourde sur le budget de la santé. Cette pression est surtout la conséquence des complications qui surviennent du fait d'un mauvais contrôle par le métabolisme. Une cause importante de cette mauvaise régulation des sucres est souvent le commencement tardif de la thérapie nécessaire, à savoir le recours à l'insuline.

Les analogues de l'insuline à action retard ont baissé le seuil du recours à l'insuline, surtout chez les médecins généralistes, qui sont dès lors plus étroitement concernés par le suivi des diabétiques.

Cette pratique, soit l'association d'analogues de l'insuline à action prolongée lorsque la thérapie per os a échoué, a cependant été rendue impossible par le ministre.

Comment le ministre étaye-t-il cette décision ?