SÉNAT DE BELGIQUE BELGISCHE SENAAT
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Session 2017-2018 Zitting 2017-2018
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15 mars 2018 15 maart 2018
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Question écrite n° 6-1795 Schriftelijke vraag nr. 6-1795

de Martine Taelman (Open Vld)

van Martine Taelman (Open Vld)

au vice-premier ministre et ministre de la Coopération au développement, de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste

aan de vice-eersteminister en minister van Ontwikkelingssamenwerking, Digitale Agenda, Telecommunicatie en Post
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Sites web et applications de l'administration - Accessibilité numérique - Personnes souffrant d'un handicap - Label AnySurfer - Initiative néerlandaise - Initiative similaire de la Belgique Overheidswebsites en overheidsapplicaties - Digitale toegankelijkheid - Mensen met een beperking - AnySurfer-label - Nederlands initiatief - Gelijkaardig initiatief in België 
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communication mobile
site internet
ministère
administration publique
facilités pour handicapés
relation administration-administré
téléphone mobile
mobiele communicatie
internetsite
ministerie
overheidsadministratie
faciliteiten voor gehandicapten
betrekking tussen overheid en burger
mobiele telefoon
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15/3/2018Verzending vraag
(Einde van de antwoordtermijn: 19/4/2018)
20/4/2018Antwoord
15/3/2018Verzending vraag
(Einde van de antwoordtermijn: 19/4/2018)
20/4/2018Antwoord
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Ook gesteld aan : schriftelijke vraag 6-1796
Ook gesteld aan : schriftelijke vraag 6-1797
Ook gesteld aan : schriftelijke vraag 6-1796
Ook gesteld aan : schriftelijke vraag 6-1797
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Question n° 6-1795 du 15 mars 2018 : (Question posée en néerlandais) Vraag nr. 6-1795 d.d. 15 maart 2018 : (Vraag gesteld in het Nederlands)

Aux Pays-Bas, à partir du mois de septembre 2018, tous les nouveaux sites web des pouvoirs publics devront être accessibles et utilisables par les personnes souffrant d'un handicap. Tous les sites web existants disposeront d'une année supplémentaire – jusqu'au mois de septembre 2019 – pour répondre aux exigences de la loi. En 2021, la loi sera également applicable aux applications mobiles.

La nouvelle loi permet une meilleure accessibilité de l'internet à tous, mais surtout aux personnes souffrant d'un handicap. Pourtant, tous les utilisateurs d'internet en bénéficieront parce que des sites web accessibles sont pour tous plus facile à utiliser.

Dans leur politique, toutes les instances publiques doivent appliquer les standards européens en matière d'accessibilité numérique et en vertu de règles légales. Le Conseil des ministres néerlandais a pris cette décision sur proposition de M. Knops, secrétaire d'État aux Affaires intérieures et aux Relations au sein du Royaume.

À l'heure actuelle, seuls des accords et des règles politiques stipulent que les personnes souffrant d'un handicap doivent pouvoir utiliser au mieux les sites web. Ceux-ci peuvent y déroger suivant le principe « appliquer ou expliquer ». Une fois que la nouvelle obligation légale sera en vigueur, cette dérogation ne sera plus possible. La nouveauté, c'est que l'accessibilité imposée par la loi ne vaut pas seulement pour les sites web externes mais également pour les sites intranet et les applications mobiles internes.

Des exceptions particulières restent possibles : par exemple, pour les reproductions de pièces de collections patrimoniales (voir le manque de contraste), de sons ou de vidéos transmises en live et de cartes en ligne (les informations essentielles à la navigation doivent alors être disponibles sous forme électronique). Les archives numériques qui ne sont plus consultées activement et ne font plus l'objet d'adaptations, ne sont pas visées par l'obligation.

Dans notre pays, de nombreux sites web de l'autorité fédérale et des autres pouvoir publics utilisent le label AnySurfer. En ce qui concerne la Flandre, les derniers chiffres ne sont guère encourageants. La proportion de sites web de l'administration flamande disposant d'un label AnySurfer oscillait toujours autour de 3 % en 2016 (cf. https://overheid.vlaanderen.be/bedrijfsinformatie/toegankelijke-websites). En 2011, un cinquième des sites web de l'administration flamande obtenait encore le label de qualité, mais ce chiffre n'a cessé de diminuer au fil des ans.

Le label AnySurfer est dès lors de moins en moins répandu. Cela signifie que l'accessibilité de l'information numérique est en régression alors que la numérisation se poursuit.

En ce qui concerne le caractère transversal de la question : cette question concerne une matière transversale avec les Communautés (égalité des chances). Il y a un ministre flamand, un ministre fédéral, un ministre bruxellois et un ministre wallon de l'Égalité des chances. Lorsqu'une concertation est nécessaire, celle-ci se déroule par le biais de conférences interministérielles où des accords sont conclus. Les textes destinés aux conférences interministérielles sont préparés de concert.

J'aimerais dès lors vous poser les questions suivantes :

1) Combien de sites web de l'administration fédérale utilisent-ils le label AnySurfer ? Quelle proportion représentent-ils par rapport au nombre total de sites web de l'administration fédérale ?

2) Les nouveaux sites web de l'administration sont-ils systématiquement accessibles aux personnes souffrant d'un handicap ? Dans la négtive, pourquoi ?

3) Dans quelle mesure les nouvelles applications de l'administration sont-elles faciles à utiliser par les personnes souffrant d'un handicap ?

4) Que pensez-vous de l'initiative législative néerlandaise qui impose qu'à partir du mois de septembre 2018, tous les nouveaux sites web doivent être accessibles et utilisables par les personnes souffrant d'un handicap, et à partir du mois de septembre 2019, tous les sites web de l'administration doivent se conformer à la loi ? Envisagez-vous une initiative similaire ? Dans l'affirmative, pouvez-vous fournir des explications concrètes en ce qui concerne le calendrier et le contenu ? Dans la négative, comment comptez-vous parvenir à rendre les sites web et les applications de l'administration systématiquement accessibles et utilisables par les handicapés ? Pouvez-vous fournir des explications très concrètes ?

5) Quelles initiatives avez-vous prises à ce jour pour rendre les sites web et les applications de l'administration systématiquement accessibles et utilisables par les personnes souffrant d'un handicap ?

6) Existe-t-il une approche systématique pour l'introduction de sites web accessibles ?

7) Combien d'audits AnySurfer ont-ils été réalisés par rapport aux différents sites web des membres du gouvernement ? Quels sont les derniers résultats de ces audits ? Pouvez-vous me fournir les derniers chiffres et les expliquer ?

8) Que pensez-vous du fait de rendre accessibles les sites web de l'administration et de ses agences et du déploiement d'applications de l'administration ? Pouvez-vous expliquer votre réponse ?

 

In Nederland moeten vanaf september 2018 alle nieuwe websites van de overheid toegankelijk en bruikbaar zijn voor mensen met een beperking. Alle bestaande websites krijgen een jaar langer – tot september 2019 – de tijd om ook aan de wet te voldoen. In 2021 geldt de wet ook voor mobiele apps.

De nieuwe wet maakt het internet beter toegankelijk voor iedereen, maar vooral voor mensen met een beperking. Toch zullen alle internetgebruikers profiteren omdat toegankelijke websites voor iedereen beter te gebruiken zijn.

Alle overheidsinstanties moeten de Europese standaard voor digitale toegankelijkheid toepassen in hun beleid en binnen wettelijk vastgelegde regelgeving. De Nederlandse ministerraad heeft dat besloten op voorstel van staatssecretaris Knops van Binnenlandse Zaken en Koninkrijksrelaties.

Op dit moment is alleen in afspraken en beleidsregels vastgelegd dat websites zo bruikbaar mogelijk moeten zijn voor mensen met een handicap. Websites kunnen daar nu van afwijken volgens het principe pas-toe-of-leg-uit. Als de nieuwe wettelijke verplichting van kracht wordt, kan dat niet meer. Nieuw is dat de wettelijk verplichte toegankelijkheid niet alleen voor externe websites geldt, maar ook voor interne intranetten en mobiele apps.

Er blijven enkele bijzondere uitzonderingen mogelijk : bijvoorbeeld voor reproducties van stukken uit erfgoedcollecties (denk aan te weinig contrast), live uitgezonden geluid of video en online kaarten (essentiële informatie voor navigatie moet dan wel digitaal beschikbaar zijn). Ook digitale archieven die niet meer actief worden geraadpleegd en niet meer worden aangepast, vallen buiten de verplichting.

In ons land werken veel federale en andere overheidswebsites met het AnySurfer-label. Wat Vlaanderen betreft, zijn de recentste cijfers niet bemoedigend. Het percentage Vlaamse overheidswebsites met een AnySurfer-label blijft schommelen rond zo'n 3 % in 2016 (cf. https://overheid.vlaanderen.be/bedrijfsinformatie/toegankelijke-websites). In 2011 haalde nog een vijfde van de Vlaamse overheidswebsites het kwaliteitslabel, maar sindsdien daalt het cijfer jaar na jaar.

Het AnySurfer-label verliest dus verder aan belang. Dat betekent dat de toegankelijkheid van de digitale informatie erop achteruitgaat, terwijl de digitalisering zich voortzet.

Wat betreft het transversaal karakter van de vraag : deze vraag betreft een transversale aangelegenheid met de Gemeenschappen (gelijke kansen). Er is een Vlaamse, een federale, een Brusselse en een Waalse minister van Gelijke Kansen. Wanneer er overlegd moet worden, gebeurt dat via interministeriële conferenties waar afspraken worden gemaakt. Teksten voor internationale conferenties worden samen voorbereid.

Graag had ik u dan ook volgende vragen voorgelegd :

1) Hoeveel federale overheidswebsites gebruiken het AnySurfer-label ? Hoe verhoudt dit zich tot het totaal aantal federale overheidswebsites ?

2) Zijn nieuwe overheidswebsites systematisch toegankelijk voor mensen met een handicap ? Zo neen, waarom niet ?

3) In hoeverre zijn nieuwe overheidsapps systematisch gebruiksvriendelijk voor mensen met een handicap ?

4) Hoe reageert u op het Nederlandse wettelijk initiatief waarbij alle nieuwe websites vanaf september 2018 toegankelijk en bruikbaar moeten zijn voor mensen met een beperking en waarbij alle overheidswebsites vanaf september 2019 aan de wet moeten voldoen ? Overweegt u een gelijkaardig initiatief ? Zo ja, kunt u concreet toelichten wat het tijdschema en de inhoud is ? Zo neen, hoe gaat u dan wel de systematische toegankelijkheid en bruikbaarheid van de overheidswebsites en apps bereiken ? Kunt u dit zeer concreet toelichten ?

5) Welke beleidsinitiatieven hebt u tot op heden getroffen om de overheidswebsites en de overheidsapps systematisch toegankelijk en bruikbaar te maken voor personen met een handicap ?

6) Bestaat er een systematische aanpak voor de invoering van toegankelijke websites ?

7) Hoeveel AnySurfer-audits werden er ten opzichte van de verschillende beleidswebsites van de leden van de regering uitgevoerd ? Wat zijn de recentste resultaten van deze audits ? Kunt u de recentste cijfers geven en deze toelichten ?

8) Wat is uw visie ten opzichte van het toegankelijk maken van de websites van de overheid en haar agentschappen en de uitrol van overheidsapps ? Kunt u dit toelichten ?

 
Réponse reçue le 20 avril 2018 : Antwoord ontvangen op 20 april 2018 :

1) Depuis 2011, l’ensemble des sites hébergés et maintenus par le service public fédéral (SPF) BOSA (ex-Fedict) font usage des normes du label AnySurfer au moment du développement de ces sites. Ceci porte sur les fonctionnalités des sites. Le contenu des sites, qui est de la responsabilité des différentes autorités publiques ayant les charges éditoriales des sites suivent également les normes AnySurfer. Les sites hébergés par BOSA sont donc AnySurfer compliant. La majorité des autres sites fédéraux, non hébergés et maintenus de manière mutualisé par le SPF BOSA suivent la même logique, mais sans contrôle de la part de BOSA. Cela reste de la responsabilité des différentes autorités en charge de la mise en ligne et du contenu des différents sites.

2) Comme dans le cadre de la question précédente, depuis 2011, tous nouveaux sites hébergés et maintenus par le SPF BOSA (ex-Fedict) font usage des normes du label AnySurfer au moment même du développement de ces sites. Le contenu des sites, qui est de la responsabilité des différentes autorités publiques ayant les charges éditoriales des sites suivent également les normes AnySurfer. Tous sites développés et hébergés par BOSA est donc AnySurfer compliant. Pour les autres sites fédéraux, nous n’avons pas le moyen ni la responsabilité de vérifier la compliance des nouveaux sites. Mais la majorité des sites fédéraux, non hébergés et maintenus de manière mutualisé par le SPF BOSA suivent la même logique. Cela reste de la responsabilité des différentes autorités en charge de la mise en ligne et du contenu des différents sites.

3) Les frontend des différentes applications développées par BOSA étant une page « .html », celles-ci sont traitées comme des sites et donc bénéficient de la même compliancy. Nous n’avons cependant pas une vision globale des autres applications fédérales. Cela restant de la responsabilité des différentes autorités en charge de leur mise en ligne.

4) Il s’agit en fait de la transposition de la directive européenne 2016/2102 relative à l’accessibilité des sites et applications des entités publiques. La même transposition est actuellement en cours de mise en œuvre au sein des différentes entités fédérées belges. Un avant-projet de loi est actuellement en cours de validation par le Conseil d’État. Le délai dans lequel l’avis doit être rendu expire le 4 mai 2018. Les différentes entités fédérées traduisent également la directive européenne dans leurs propres réglementations. Le planning poursuivit est de faire voter les transpositions avant mi-juillet 2018. Le contenu de l’avant-projet reprend littéralement le contenu de la directive européenne.

5) Depuis 2011, l’ex-FEDICT a pris l’initiative de rendre accessible l’ensemble des sites hébergés et maintenus sur ses plateformes de gestion de contenus. Nous avons également intégré dans nos marchés publics l’obligation pour nos fournisseurs de suivre les directive WCAG 2.0 ou AnySurfer lors des développements des sites.

6) Oui, nous suivons les directives de la normes WCAG 2.0 ainsi que les recommandations de AnySurfer lors des développements de chaque nouveaux sites.

7) Malheureusement, nous n’avons pas une vision globale des audits AnySurfer commandés par les différentes entités publiques. Seul AnySurfer serait à même de fournir une telle information. De plus, jusqu’à présent il n’existait pas d’inventaire des différents sites fédéraux, puisque ceux-ci sont du ressort exclusif des différentes entités publics et qu’il n’existe pas d’obligation d’utiliser les services de BOSA (ex-Fedict) afin de réaliser son site.

8) Nous allons suivre en tous points les règles, normes et processus de contrôles indiqués dans la directive européenne 2016/2102. Des solutions conviviales et accessibles sont une condition préalable à la poursuite de la numérisation. Les directives d'accessibilité au contenu Web (WCAG) constituent un bon guide à cet égard.

1) Sinds 2011 wordt bij de ontwikkeling van alle websites die door de federale overheidsdienst (FOD) BOSA (ex-Fedict) gehost en onderhouden worden rekening gehouden met de normen van het AnySurfer-label. Dit slaat op de functionaliteiten van de websites. Ook de inhoud van de websites, waarover de verschillende overheidsinstanties die de redactionele verantwoordelijkheid voor de websites hebben, waken, is in overeenstemming met de AnySurfer-normen. De door BOSA gehoste websites zijn dus AnySurfer compliant. Het merendeel van de andere federale websites, die niet mee door de FOD BOSA gehost en onderhouden worden, volgt dezelfde logica, maar BOSA voert er geen controle op uit. De verschillende overheidsinstanties die instaan voor het online plaatsen en de inhoud van de verschillende websites blijven daar verantwoordelijk voor.

2) Net zoals bij de vorige vraag is het zo dat er sinds 2011 bij de ontwikkeling van alle nieuwe websites die door de FOD BOSA (ex-Fedict) gehost en onderhouden worden rekening wordt gehouden met de normen van het AnySurfer-label. Ook de inhoud van de websites, waarover de verschillende overheidsinstanties die de redactionele verantwoordelijkheid voor de websites hebben, waken, is in overeenstemming met de AnySurfer-normen. Alle door BOSA ontwikkelde en gehoste websites zijn dus AnySurfer compliant. Wat de andere federale websites betreft, hebben we noch de middelen, noch de bevoegdheid om na te gaan of de nieuwe websites AnySurfer compliant zijn. Het merendeel van de federale websites, die niet mee door de FOD BOSA gehost en onderhouden worden, volgt echter dezelfde logica. De verschillende overheidsinstanties die instaan voor het online plaatsen en de inhoud van de verschillende websites blijven daar verantwoordelijk voor.

3) Omdat de frontends van de verschillende door BOSA ontwikkelde applicaties een « .html »-pagina zijn, worden deze behandeld als websites en genieten ze dus dezelfde compliancy. We hebben wel geen totaalbeeld van de andere federale applicaties. Daar blijven de verschillende overheidsinstanties die instaan voor het online plaatsen van die applicaties verantwoordelijk voor.

4) Het gaat hier om de omzetting van de Europese richtlijn 2016/2102 inzake de toegankelijkheid van de websites en mobiele applicaties van overheidsinstanties. Er wordt momenteel werk gemaakt van deze omzetting in de verschillende gefedereerde entiteiten in België. De Raad van State is momenteel een voorontwerp van wet hierover aan het valideren. De termijn waarbinnen het advies moet worden verstrekt, loopt op 4 mei 2018 ten einde. De verschillende gefedereerde entiteiten zijn ook bezig de Europese richtlijn om te zetten in hun eigen reglementeringen. De nagestreefde planning voorziet erin de omzettingen voor medio juli 2018 te laten stemmen. De inhoud van het voorontwerp neemt letterlijk de inhoud van de Europese richtlijn over.

5) Sinds 2011 heeft Fedict het initiatief genomen om alle websites die op zijn contentmanagementplatforms gehost en onderhouden werden toegankelijk te maken. Ook hebben we in onze overheidsopdrachten een verplichting voor onze leveranciers opgenomen om de WCAG 2.0- of AnySurfer-richtsnoeren te volgen bij het ontwikkelen van websites.

6) Ja, wij volgen de richtsnoeren van de WCAG 2.0-normen en de aanbevelingen van AnySurfer telkens we een nieuwe website ontwikkelen.

7) We hebben helaas geen totaalbeeld van de AnySurfer-audits die door de verschillende overheidsinstanties besteld zijn. Enkel AnySurfer kan dat soort informatie verstrekken. Bovendien is er tot op heden nog geen inventaris van de verschillende federale websites, aangezien die uitsluitend onder de verantwoordelijkheid vallen van de verschillende overheidsinstanties en men niet verplicht gebruik hoeft te maken van de diensten van BOSA (ex-Fedict) om een website te maken.

8) Wij zullen alle regels, normen en controleprocessen die in de Europese richtlijn 2016/2102 vermeld zijn in acht nemen. Gebruiksvriendelijke en toegankelijke oplossingen zijn een absolute voorwaarde voor een verdere digitalisering. De richtlijnen inzake de toegankelijkheid van webinhoud (WCAG) zijn een goed aanknopingspunt in dit opzicht.