SÉNAT DE BELGIQUE BELGISCHE SENAAT
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Session 2011-2012 Zitting 2011-2012
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23 décembre 2011 23 december 2011
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Question écrite n° 5-4528 Schriftelijke vraag nr. 5-4528

de Bert Anciaux (sp.a)

van Bert Anciaux (sp.a)

à la vice-première ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, chargée de Beliris et des Institutions culturelles fédérales

aan de vice-eersteminister en minister van Sociale Zaken en Volksgezondheid, belast met Beliris en de Federale Culturele Instellingen
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Agence européenne des médicaments - Médicaments alternatifs - Contrôle - Position du gouvernement Europees Geneesmiddelenagentschap - Alternatieve geneesmiddelen - Controle - Standpunt van de regering 
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Agence européenne des médicaments
surveillance des médicaments
plante médicinale
complément alimentaire
vitamine
Europees Geneesmiddelenbureau
inspectie van geneesmiddelen
geneeskrachtige plant
voedingssupplement
vitamine
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23/12/2011Verzending vraag
16/2/2012Antwoord
23/12/2011Verzending vraag
16/2/2012Antwoord
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Réintroduction de : question écrite 5-2271 Réintroduction de : question écrite 5-2271
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Question n° 5-4528 du 23 décembre 2011 : (Question posée en néerlandais) Vraag nr. 5-4528 d.d. 23 december 2011 : (Vraag gesteld in het Nederlands)

En 2004, la Commission européenne a décidé que les médicaments alternatifs à base de plantes doivent prouver leur efficacité avant d'être mis sur le marché. L'Agence européenne des médicaments ayant approuvé la mesure, cette dernière est entrée en vigueur cette semaine. Les préparations vitaminées, les compléments alimentaires ou autres remèdes développés en dehors de l'industrie pharmaceutique traditionnelle doivent être soumis à un contrôle de cette Agence avant de pouvoir être offerts au public.

Dans chaque État membre, des producteurs se sont annoncés auprès de l'Agence avec plus de cent préparations vitaminées, compléments alimentaires ou autres remèdes. Il leur revient de prouver que leurs produits, généralement basés sur des méthodes de soins traditionnelles, sont consommés depuis au moins quinze ans en toute sécurité dans l'Union européenne ou depuis plus de trente ans en dehors de celle-ci.

Cette mesure est fortement contestée par les partisans de la médecine alternative et à base de plantes ; ils accusent surtout l'industrie pharmaceutique d'être à l'origine de ce seuil. La commission dément. Selon Frédéric Vincent, porte-parole de la Commission européenne, les médicaments alternatifs appartiennent souvent à la culture du peuple. C'est pourquoi ils peuvent bénéficier d'une procédure d'agrément beaucoup plus simple que les médicaments de l'industrie pharmaceutique. Ainsi, les préparations vitaminées et les médicaments à base de plantes par exemple ne doivent pas être soumis à des tests cliniques lents et aux coûts exorbitants.

J'aimerais obtenir une réponse aux questions suivantes :

1) La ministre partage-t-elle la position de la Commission européenne et défend-elle la règlementation relative aux médicaments alternatifs à base de plantes ?

2) Comprend-elle les arguments des défenseurs de ces médicaments qui jugent cette mesure européenne « disproportionnée, discriminatoire et peu transparente » et accusent l'industrie pharmaceutique de corporatisme, d'intérêt personnel et d'avoir, pour cette raison, exercé de fortes pressions en faveur de cette mesure ?

3) Partage-t-elle l'analyse des partisans de ce genre de médicament qui indiquent que la Belgique applique cette mesure de manière beaucoup plus contraignante que, par exemple, les Pays-Bas ou la Tchéquie, bref, que ces médicaments sont refusés beaucoup plus rapidement dans notre pays que dans d'autres États membres de l'Union européenne (UE) ? Quels sont les arguments utilisés par la ministre pour défendre l'interprétation belge et l'application de cette règle ?

 

In 2004 besliste de Europese Commissie dat alternatieve geneesmiddelen op basis van planten hun efficiëntie moeten kunnen bewijzen alvorens ze op de markt worden gebracht. Sinds deze week wordt de maatregel van kracht, via een goedkeuring door het Europees Geneesmiddelenagentschap. Vitaminepreparaten, voedingssupplementen of andere medicijnen, ontwikkeld buiten de traditionele farmaceutische industrie, moeten zich aan een controle van dit Agentschap onderwerpen alvorens ze publiek kunnen worden aangeboden. In elke Lidstaat meldden producenten zich met meer dan honderd vitaminepreparaten, voedingssupplementen of andere medicijnen bij het Agentschap. Aan hen om te bewijzen dat hun producten, meestal gebaseerd op traditionele verzorgingsmethodes, minstens vijftien jaar in alle veiligheid gebruikt worden in de Europese Unie, of meer dan dertig jaar erbuiten. Deze maatregel veroorzaakt veel protest bij voorstanders van de alternatieve en de kruidengeneeskunde, die vooral de farmaceutische industrie beschuldigen om deze drempel te hebben veroorzaakt. De Commissie ontkent. Frederic Vincent, woordvoerder van de Europese Commissie zegt " Alternatieve geneeswijzen behoren vaak tot de volkscultuur. Daarom kunnen ze genieten van een veel eenvoudigere erkenningsprocedure dan geneesmiddelen van de farma-industrie. Zo moeten de vitaminepreparaten en plantaardige medicijnen bijvoorbeeld geen peperdure en tijdverslindende klinische tests doorlopen. "

Graag kreeg ik een antwoord op de volgende vragen:

1) Deelt de geachte minister de stelling van de Europese Commissie en verdedigt zij de regeling met betrekking tot de alternatieve geneesmiddelen op basis van planten?

2) Heeft zij begrip voor de argumenten van de verdedigers van deze geneesmiddelen die deze Europese maatregel als " disproportioneel, discriminatoir en weinig transparant " veroordelen en de farmaceutische industrie beschuldigen van corporatisme en eigenbelang en daarom sterk lobbyden ten voordele van deze maatregel?

3) Deelt zij de analyse van de voorstanders van dit soort medicamenten die stellen dat België deze maatregel veel stringenter toepast dan bijvoorbeeld Nederland of Tjechië, kortom dat in ons land deze medicamenten veel sneller worden afgekeurd dan in andere leden van de Europese Unie (EU)? Met welke argumenten verdedigt zij de Belgische interpretatie en implementatie van deze regel?

 
Réponse reçue le 16 février 2012 : Antwoord ontvangen op 16 februari 2012 :

En guise d’introduction, je souhaite éclaircir certains points:

La Directive en question (2004/24/CE) vise tous les médicaments traditionnels à base de plantes et uniquement ceux-ci, quelque soit leur origine ou la technique thérapeutique (traditions européennes, Ayurvéda, médecine chinoise, …) dans laquelle ils sont utilisés. Il est donc important d’être conscient du fait que cette directive ne se limite pas seulement à ce que vous appelez les « médicaments alternatifs» à base de plantes.

Les préparations vitaminées et les compléments alimentaires sont cités dans votre question en même temps que « d'autres médicaments ». Cependant, la définition du complément alimentaire (vitamines comprises) et celle du médicament diffèrent fortement, et de plus, la législation prévoit une hiérarchie lorsque ces produits peuvent répondre aux deux législations.

Les compléments alimentaires et les préparations vitaminées ne sont donc pas visés par la Directive en question. Par contre, les produits qui sont jusqu’à présent vendus abusivement comme compléments alimentaires, mais qui répondent à la définition d’un médicament traditionnel à base de plantes, sont évidemment visés.

L’affirmation du porte-parole de la Commission Européenne telle que vous la rapportez doit être nuancée : des vitamines peuvent être présentes dans des médicaments traditionnels à base de plantes lorsque leur action soutient celle du composant actif végétal. Les préparations vitaminées en tant que telles ne tombent donc pas dans le champ d’application de la Directive en question.

En effet selon les doses et la voie d’administration, elles peuvent répondre à la définition du médicament ou du complément alimentaire et relèvent donc d’autres directives.

1. Après les graves problèmes rencontrés avec certains produits à base de plantes, la Commission Européenne a pris certaines dispositions réglementaires pour contrôler ce marché.

La Directive 2004/24/CE du Parlement Européen et du Conseil du 31 mars 2004, modifiant, en ce qui concerne les médicaments à base de plantes, la Directive 2001/83/CE instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage humain, prévoit une procédure simplifiée pour l’enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes, dans laquelle, pour l’exprimer de façon très simple , le fait de prouver l’efficacité repose en fait sur l’utilisation dans la tradition. Il s’agit donc d’une simplification considérable en ce qui concerne l’obtention de l’enregistrement et non pas d’un obstacle pour les médicaments existants.

Ces médicaments offrent à la population des garanties en ce qui concerne la qualité et la sécurité des produits ainsi que, dans ce cas-ci, une confirmation de la plausibilité de l’indication proposée, découlant de la tradition. C’est donc un important pas en avant pour le citoyen qui souhaite utiliser de tels médicaments traditionnels pour se soigner.

Dans la procédure d’enregistrement, il faut présenter les éléments bibliographiques ou rapports d'expert établissant que le médicament concerné ou un médicament équivalent est d'un usage médical d’au moins 30 ans avant la date de la demande, dont au moins quinze ans dans la Communauté.

Les procédures prévues dans la Directive en question sont des procédures nationales dans lesquelles l’Agence Européenne des Médicaments n’intervient pas. Des procédures de reconnaissance mutuelle sont toutefois possibles.

Cette Directive a été transposée dans la législation belge (notamment par les articles 43 à 50 de l’arrêté royal du 14 décembre 2006 relatif aux médicaments à usage humain et vétérinaire). Ceci répond affirmativement à la première question.

2. Une période de sept ans (qui se terminait le 30 avril 2011) était accordée aux firmes pour régulariser la situation des médicaments traditionnels à base de plantes qui étaient déjà sur le marché. La fin de cette longue période de transition suscite de nombreuses questions de la part des fabricants concernés, des patients et des professionnels de la santé. La Commission Européenne a publié sur son site un document « questions-réponses », traduit en français ainsi qu’en néerlandais par l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS) et qu’elle a mis à disposition sur son site web . Ce document donne des informations utiles au sujet de l’implémentation de la Directive susvisée.

Au niveau national, l’AFMPS a également pris les dispositions nécessaires pour informer au mieux les fabricants concernés et permettre ainsi une implémentation en phases de cette directive qui exige l’enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes pour garantir leur qualité et leur sécurité.

La circulaire 533 à l’attention des fabricants leur a présenté les modalités pratiques pour notifier, dans un premier temps, les médicaments à base de plantes répondant à la définition du médicament traditionnel à base de plantes (date limite 1er mars 2009).

L’arrêté royal du 28 juin 2009, relatif à la notification des médicaments traditionnels à base de plantes, stipulait que les responsables de la mise sur le marché de ces médicaments devaient introduire une demande d’enregistrement au plus tard le 1er janvier 2010.

L’AFMPS a informé les firmes concernées à plusieurs reprises notamment à l’occasion de congrès et de réunions d’associations professionnelles.

L’occasion a donc été largement donnée aux firmes de recevoir des réponses à toutes les questions qu’elles se posaient en la matière et ainsi faciliter leur travail.

L’AFMPS estime que la transparence a été garantie en suivant toutes les étapes citées ci-dessus.

3. L’AFMPS évalue les demandes d’enregistrement des médicaments traditionnels à base de plantes de manière scientifique dans le cadre légal, décrit ci-dessus et en vigueur dans tous les états-membres.

Cette évaluation permet aux patients et aux professionnels de la santé de disposer de médicaments de qualité dont l'efficacité est plausible du fait de l'ancienneté de l'usage et de l'expérience, pour lesquels l’information qui leur est transmise est correcte.

Le rôle de l’AFMPS est de veiller, dans l’intérêt de la Santé Publique, à la qualité, la sécurité et l’efficacité des médicaments mis sur le marché.

L’AFMPS prend donc également dans ce domaine toutes les dispositions nécessaires pour préserver la santé de patients qui reste sa préoccupation principale.

Als inleiding wens ik de volgende zaken te verduidelijken:

de betrokken Richtlijn (2004/24/EC) viseert alle traditionele kruidengeneesmiddelen en enkel deze, ongeacht hun oorsprong of de therapeutische techniek (Europese tradities, Ayurveda, Chinese geneeskunde, …) waarin ze worden gebruikt. Het is dus belangrijk zich te realiseren dat dit niet enkel geldt voor de zogeheten “alternatieve geneesmiddelen op basis van planten”.

Vitaminepreparaten en voedingssupplementen worden in uw vraag samen genoemd met “andere medicijnen”. De definitie van voedingssupplement (vitamines inbegrepen) en geneesmiddel zijn nochtans sterk verschillend. De wetgeving voorziet eveneens een hiërarchie wanneer producten aan beide wetgevingen zouden voldoen.

Voedingssupplementen en vitaminepreparaten zijn dus niet geviseerd door de betrokken Richtlijn. Enkel producten die tot nu (verkeerdelijk) als voedingssupplement worden verkocht maar voldoen aan de definitie van traditioneel kruidengeneesmiddel zijn uiteraard geviseerd.

Het statement van de woordvoerder van de Europese Commissie, zoals u het aanhaalt, dient genuanceerd te worden: vitamines mogen aanwezig zijn in traditionele kruidengeneesmiddelen wanneer hun werking deze van het plantaardig actief bestanddeel ondersteunt. Vitaminepreparaten als dusdanig vallen niet binnen het toepassingsgebied van de betrokken Richtlijn.

Immers, afhankelijk van de dosis en de toedieningsweg, kunnen ze vallen onder de definitie van het geneesmiddel of deze van het voedingssupplement en worden bijgevolg geviseerd door andere Richtlijnen dan deze.

1. Volgend op de ernstige problemen ondervonden met sommige kruidenproducten, , nam de Europese Commissie bepaalde reglementaire maatregelen om deze markt te controleren.

Richtlijn 2004/24/EG van het Europees Parlement en van de Raad van 31 maart 2004 tot wijziging, wat de traditionele kruidengeneesmiddelen betreft, van Richtlijn 2001/83/EG tot vaststelling van een communautair wetboek betreffende geneesmiddelen voor menselijk gebruik, bepaalt een vereenvoudigde registratieprocedure voor traditionele kruidengeneesmiddelen, waarin het aantonen van de efficiëntie, sterk vereenvoudig gesteld, eigenlijk berust op het gebruik in de traditie. Het gaat dus om een aanzienlijke vergemakkelijking met betrekking tot het verkrijgen van een registratie als geneesmiddel en vormt dus geen hinderpaal voor bestaande geneesmiddelen.

Geneesmiddelen bieden de bevolking garanties met betrekking tot kwaliteit en veiligheid van de producten evenals, in dit geval, een bevestiging van de plausibiliteit van de vooropgestelde indicatie, voortkomend uit de traditie. Dit is dus een belangrijke stap voorwaarts voor de burger die dergelijke traditionele geneesmiddelen wenst te gebruiken om zich te verzorgen.

In de registratieprocedure wordt gevraagd om bibliografische gegevens of gegevens van deskundigen voor te leggen waaruit blijkt dat het desbetreffende geneesmiddel of een overeenkomstig geneesmiddel gedurende een periode van ten minste dertig jaar voor de datum van de aanvraag in de medische praktijk is gebruikt, waaronder ten minste vijftien jaar in de Gemeenschap.

De voorziene procedures in de betrokken Richtlijn zijn nationale procedures waarin het Europees Geneesmiddelenagentschap niet tussenkomt. Wederzijdse erkenningsprocedures zijn echter mogelijk.

Deze richtlijn werd omgezet in de Belgische wetgeving (in het bijzonder de artikelen 43 tot 50 van het koninklijk besluit van 14 december 2006 (PDF, 883.01 koninklijk besluit) betreffende geneesmiddelen voor menselijk en diergeneeskundig gebruik). Hiermee is het antwoord op de eerste vraag affirmatief.

2. Een periode van zeven jaar (die eindigde op 30 april 2011) werd verleend aan de bedrijven om de situatie van de traditionele kruidengeneesmiddelen die al op de markt waren te regulariseren. Het einde van deze lange overgangsperiode roept veel vragen op vanwege de betrokken fabrikanten, patiënten en gezondheidsbeoefenaars. De Europese Commissie publiceerde op haar website een document, getiteld “Vragen en Antwoorden” , waarvan de Nederlandse vertaling (evenals de Franse) op de website van het Federaal agentschap voor geneesmiddelen en gezondheidsproducten (FAGG) terug te vinden is. Dit document bevat nuttige informatie over de uitvoering van de hoger vermelde richtlijn.

Op nationaal vlak nam het FAGG eveneens de nodige maatregelen om hierover de betrokken fabrikanten optimaal te informeren en dus voor een gefaseerde implementatie te zorgen van deze richtlijn die de registratie van traditionele kruidengeneesmiddelen vereist om hun kwaliteit en hun veiligheid te waarborgen.

De omzendbrief 533 van 11 december 2008 ter attentie van de fabrikanten, bood hen praktische regels om in een eerste fase de kruidengeneesmiddelen aan te melden (notificatie) die beantwoorden aan de definitie van traditioneel kruidengeneesmiddel (deadline 1 maart 2009).

Het koninklijk besluit van 28 juni 2009 betreffende het melden van traditionele kruidengeneesmiddelen bepaalde dat de verantwoordelijken voor het in de handel brengen van deze geneesmiddelen, ten laatste op 1 januari 2010 een aanvraag tot registratie moesten indienen.

Het FAGG heeft herhaaldelijk de betrokken firma’s geïnformeerd tijdens, onder meer, congressen en bijeenkomsten van beroepsverenigingen.

De firma’s hebben dus veelvuldig de kans gehad om antwoorden te krijgen op vragen die zij hadden op dit vlak en aldus de indiening van aanvragen te vergemakkelijken.

Het FAGG is van mening dat de nodige transparantie aan de dag werd gelegd gezien de hierboven vermelde stappen.

3. Het FAGG beoordeelt de registratieaanvragen voor traditionele kruidengeneesmiddelen op een wetenschappelijke wijze binnen het wettelijk kader, zoals hierboven geschetst, en geldig in alle lidstaten.

Deze evaluatie zorgt ervoor dat patiënten en gezondheidsbeoefenaars beschikken over kwaliteitsgeneesmiddelen, waarvan de veiligheid onder de gespecifieerde gebruiksomstandigheden is aangetoond, de werkzaamheid op basis van het langdurige gebruik en de ervaring aannemelijk is en waarvoor de naar hen overgebrachte informatie juist is.

De rol van het FAGG ligt erin om in het belang van de volksgezondheid, voor de kwaliteit, de veiligheid en de werkzaamheid van de gecommercialiseerde geneesmiddelen te zorgen.

Het FAGG neemt ook in dit domein alle nodige maatregelen om de gezondheid van de patiënten te beschermen , hetgeen haar belangrijkste zorg is.