SÉNAT DE BELGIQUE | ||||
________ | ||||
Session 2010-2011 | ||||
________ | ||||
10 décembre 2010 | ||||
________ | ||||
SÉNAT Question écrite n° 5-526 | ||||
de Anke Van dermeersch (Vlaams Belang) |
||||
au ministre des Pensions et des Grandes villes |
||||
________ | ||||
Gouvernement en affaires courantes - Absence d'arrêtés d'exécution - Nombres | ||||
________ | ||||
démission du gouvernement arrêté application de la loi |
||||
________ | ||||
|
||||
________ | ||||
Aussi posée à : question écrite 5-520 Aussi posée à : question écrite 5-521 Aussi posée à : question écrite 5-522 Aussi posée à : question écrite 5-523 Aussi posée à : question écrite 5-524 Aussi posée à : question écrite 5-525 Aussi posée à : question écrite 5-527 Aussi posée à : question écrite 5-528 Aussi posée à : question écrite 5-529 Aussi posée à : question écrite 5-530 Aussi posée à : question écrite 5-531 Aussi posée à : question écrite 5-532 Aussi posée à : question écrite 5-533 Aussi posée à : question écrite 5-534 Aussi posée à : question écrite 5-535 Aussi posée à : question écrite 5-536 Aussi posée à : question écrite 5-537 Aussi posée à : question écrite 5-538 Aussi posée à : question écrite 5-539 Aussi posée à : question écrite 5-540 Aussi posée à : question écrite 5-541 |
||||
________ | ||||
SÉNAT Question écrite n° 5-526 du 10 décembre 2010 : (Question posée en néerlandais) | ||||
Dans le périodique « Lokaal » du 16 novembre 2010, la « Vlaamse Vereniging voor Steden en Gemeenten » déplore que la loi du 10 janvier 2010 portant modification de la loi du 7 mai 1999 sur les jeux de hasard n'ait toujours pas reçu d'arrêtés d'exécution. Plus de soixante arrêtés royaux attendent, dit-on, un gouvernement disposant de la plénitude des compétences, qui pourra les faire entrer en vigueur. Pouvez-vous m'indiquer, pour votre domaine de compétences, quels arrêtés royaux sont actuellement prêts, mais attendent un gouvernement disposant de la plénitude des compétences pour être promulgués ? |
||||
Réponse reçue le 30 mars 2011 : | ||||
En réponse à la question, je peux communiquer ce qui suit. Charger le gouvernement du traitement des affaires courantes est une coutume constitutionnelle qui limite la compétence du gouvernement dans ses tâches d’exécution. La jurisprudence et la doctrine ont défini plus spécifiquement les affaires courantes sur base d’un nombre de critères. Ces mêmes critères sont repris dans les circulaires traditionnelles relatives aux affaires courantes au début d’une période d’affaires courantes. On distingue trois catégories de traitements :
C’est dans ce cadre que le gouvernement, dans ses missions en tant que pouvoir exécutif, doit à chaque fois examiner si une mesure peut effectivement être prise. Cela nécessite une enquête au cas par cas, en tenant compte des circonstances et de la nécessité de prendre ladite mesure. Seuls les arrêtés d’exécution qui passent ce test sont promulgués. |